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Chances De Survie Des Cnacer Du Sein : Les Avancées De La Recherche Et Des Traitements



Le premier stade du cancer du sein est appelé stade 0. Le dernier stade est appelé stade 4. Le cancer du sein a donc 5 stades, le premier étant celui qui offre les chances de survie les plus importantes.


Tout comme pour le stade 2, on distingue différentes sous-catégories au stade 3 (3A, 3B), chacun ayant des chances de survie légèrement différentes. Ainsi, le stade 3A correspond à une tumeur de plus de 5 cm dont les cellules ont atteint les ganglions lymphatiques, et le cancer du sein de stade 3B correspond à une tumeur de plus de 5 cm ayant atteint la peau du sein ainsi que les muscles de la paroi thoracique.




Chances De Survie Des Cnacer Du Sein



-->Un dépistage signifie tester une personne qui ne présente pas de symptômes. Le dépistage du cancer du sein est l'examen régulier des seins d'une femme pour détecter un cancer du sein de manière précoce. Lorsque le cancer du sein est détecté à un stade précoce, il est petit et a moins de risques de se propager, les options thérapeutiques sont plus nombreuses e les chances de guérison meilleures. Les personnes âgées de 50 à 74 ans présentant un risque moyen de cancer du sein qui passent une mammographie ont un risque plus faible de mourir du cancer du sein que les femmes qui ne passent pas de test de dépistage.


Les derniers chiffres publiés par l'Institut national du cancer indiquent que les cancers de la thyroïde, du sein et de la prostate demeurent des cancers de bon voire très bon pronostic : 5 ans après le diagnostic, leur survie nette est supérieure à 80%. D'autres cancers comme ceux du rectum, du côlon, de la vulve, de l'utérus sont considérés comme de bon pronostic avec une survie nette à 5 ans proche de 60 % à 70%.


Avec près de 60 000 cas par an, le cancer du sein est le premier cancer féminin. Selon l'INCa, il est de bon pronostic et la survie s'améliore au fil du temps : aujourd'hui, le taux de survie de ce cancer sur 5 ans est de 88 %, 81 % à 10 ans. Cela s'explique principalement par l'amélioration des traitements et la précocité du dépistage.


Le pronostic du cancer du sein évalue le comportement de la maladie et sa capacité de réaction aux thérapeutiques. Il est réalisé par un médecin ou une équipe pluridisciplinaire de médecins spécialisés dans le cancer du sein, de manière conjointe. Il permet de déterminer les chances de survie du patient face à la maladie.


Le stade du cancer du sein est le facteur majeur pris en compte pour déterminer le taux de survie de la maladie. Si la tumeur est découverte à un stade précoce, le risque de récidive du cancer du sein est plus faible. Par contre lorsque le diagnostic est réalisé à un stade avancé, le pronostic est moins favorable.


Le type de pathologie et son grade influencent également le pronostic vital des femmes. Un cancer inflammatoire ou un cancer du sein avec envahissement ganglionnaire ont un taux de survie inférieur à 30 %. En revanche, les cancers in situ ou de taille inférieure à 1 cm, sans envahissement ganglionnaire, ont un taux de survie bien plus élevé à 95 %.


De même, la survie nette après 5 ans a été relativement élevée pour les cancers de la prostate (91 %), du sein (89 %) et des mélanomes cutanés (89 %). Le pronostic relativement favorable de ces cancers est encourageant, plus particulièrement si l'on tient compte du fait qu'ils font partie des cancers les plus souvent diagnostiqués. Si la survie après 5 ans pour le cancer du sein est plus faible chez les hommes (76 %) que chez les femmes (89 %), elle constitue toutefois une petite fraction des cas. Dans le même ordre d'idées, la survie après 5 ans est également plus élevée chez les femmes (92 %) que chez les hommes (86 %) pour les mélanomes cutanés.


Effectuer des tests de dépistage du cancer au sein de la population auprès de personnes ne présentant pas de symptômes peut donner lieu à un diagnostic et à une intervention à un stade plus précoce, ce qui peut entraîner des améliorations en matière de survie dans certaines situations. La survie relativement élevé après 5 ans dans le cas du cancer du sein peut être partiellement attribuée à l'usage répandu du dépistage par mammographie. La mammographie consiste en l'utilisation de rayons X afin de permettre la détection de tumeurs au sein, qu'elles soient cancéreuses ou non. En 2017, 91,4 % des femmes de 50 à 74 ans ont déclaré avoir subi une mammographie au cours de leur vie, et 78,5 % au cours des trois années précédentes.


Ces résultats donnent des pistes pour prolonger la survie des patients atteints de formes avancées de deux cancers parmi les plus fréquents respectivement chez l'homme et la femme: celui de la prostate et celui du sein. Des avancées encourageantes quand on sait que ces deux cancers laissent de larges chances de survie seulement s'ils sont diagnostiqués à un stade précoce, mais que celles-ci diminuent considérablement lorsque des métastases se sont développées.


Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme. Chaque année en Suisse, on dénombre environ 6000 nouveaux cas. 80 % des femmes concernées ont 50 ans ou plus au moment du diagnostic (source : Office fédéral de la statistique). La détection précoce augmente les chances de guérison et permet un traitement moins lourd.


Récidive dans 25 % des casLe cancer du sein est la tumeur la plus fréquente chez la femme, avec plus de 1,1 million de nouveaux cas diagnostiqués chaque année dans le monde. Une femme sur huit sera atteinte d'une tumeur mammaire au cours de sa vie. Au Liban, le cancer du sein représente près de 41% de l'ensemble des tumeurs diagnostiquées chez la femme, selon le Registre national du cancer 2010. Quelque 1780 nouveaux cas sont détectés chaque année, dont environ la moitié chez des femmes âgées de moins de 50 ans.S'il est dépisté à un stade précoce, c'est-à-dire encore localisé, les chances de survie à dix ans peuvent atteindre les 90%. Malheureusement, une survivante sur quatre aura une récidive, c'est-à-dire que son cancer réapparaîtra au bout de quelques années. Le risque de rechute dépend de nombreux facteurs, indique le Dr Khater, notamment du stade initial de la tumeur, de la qualité des différents traitements reçus (chirurgie, radiothérapie, chimiothérapie, hormonothérapie), et du type intrinsèque de la tumeur, certains types étant plus agressifs que d'autres.Les spécialistes distinguent différents types de cancer du sein: les cancers hormono-dépendants, qui représentent près des deux-tiers des cas, et dans lesquels les cellules du cancer du sein interagissent avec les estrogènes et/ou la progestérone; les cancers HER2 positifs, dans lesquels les cellules tumorales contiennent de grandes quantités de protéine HER2 ; et les cancers dits triple négatifs, dénués de récepteurs aux estrogènes et à la progestérone et sans surexpression de HER2. Ces derniers sont considérés comme les plus agressifs.


Comment se manifeste un cancer du sein métastatique? La patiente ou son médecin peuvent détecter une grosseur au niveau de l'aisselle ou du cou, souligne le Dr Khater. L'apparition d'une douleur nouvelle ou qui persiste, ou encore qui s'aggrave sans cause évidente peut être due à une métastase osseuse ou autre. Au début, les métastases sont trop petites pour causer des symptômes. Elles sont découvertes lors d'examens radiologiques, dans le cadre de l'évaluation d'un symptôme inquiétant. Mais jusqu'à présent, les examens sanguins ou radiologiques de routine, à la recherche de métastases chez une femme jugée en rémission de son cancer du sein, ne sont pas recommandés. Pour l'instant, seuls l'examen clinique périodique et la mammographie annuelle restent de mise dans le suivi d'une femme ayant survécu à un cancer du sein.Et le Dr Khater de conclure: Avec les traitements actuels dont nous disposons, la survie au cancer du sein métastatique s'est nettement améliorée. Chez certaines femmes, elle peut atteindre dix ans.


Le cancer du sein représente un tiers des cancers diagnostiqués chez les femmes en France chaque année. On estime que, dans les pays industrialisés, une femme sur neuf sera atteinte de cancer du sein dans sa vie, toutes formes confondues. Si le nombre de cancers du sein a tendance à augmenter chaque année depuis trente ans, les progrès du dépistage et des traitements font que le taux de survie après un cancer du sein augmente également chaque année, sauf chez les femmes âgées de plus de 85 ans.


Heureusement, les chances de survie continuent d'augmenter chaque année. Aujourd'hui, le taux de survie moyen après 5 ans est de 90,5 % en Belgique. C'est une bonne nouvelle, mais notre rêve reste un monde sans cancer du sein. C'est pourquoi nous continuons à investir dans la recherche en matière de prévention, de traitement et de suivi.


Ainsi, lorsque nous avons créé la fondation, nous avons lancé un programme de prévention qui s'attaquerait à la fois au cancer du col de l'utérus et au cancer du sein à un stade précoce, car là réside la meilleure chance de survie. La sensibilisation est l'un des aspects les plus importants que nous avons sérieusement pris en compte pour essayer de mieux conscientiser la communauté. Nous avons réussi à sensibiliser avec l'aide des représentants du gouvernement, des chefs religieux, des personnes influentes au sein de la communauté et des chefs traditionnels, car ce sont les acteurs que les communautés écoutent. Il y a beaucoup d'idées fausses qui circulent sur le cancer et notre devoir est de les combattre. Par exemple, il y a une croyance répandue selon laquelle lorsqu'une femme a une grosseur au sein, elle ne peut pas permettre que quoi que ce soit entaille sa peau, sinon le problème ne fera que s'aggraver. C'est pourquoi de nombreuses femmes hésitent à subir une biopsie lorsque des grosseurs sont découvertes et qu'elles se présentent à un stade avancé du cancer du sein. Une autre idée fausse très répandue est que le cancer est dû à des [mauvais sorts] et les gens préfèrent donc se rendre chez des guérisseurs traditionnels plutôt qu'à l'hôpital. 2ff7e9595c


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